Rachida Dati, Porte-Parole de Sarkozy fait de l'humour

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L'humour « karcher » de Rachida Dati
 

Comments

[Rédigé par : banlieusardirakien]

kel salope ! dsl mais bon jpeut pas mempecher de dire ce que je pense c inadmissible de tel propos ..et dire que cette femme est censé nous apporté une meilleur vie ..pff eh ben metre des arabes au ministere c pas une bonne idée ! (ps je suis arabe ossi ) bouffonne !

[Rédigé par : nous]

vindé nous voir sur www.myspace.com/mai2008

[Rédigé par : Graig]

Quelle pute cette léche boule de rachida dati

[Rédigé par : aitina]

"Depuis que toutes les chaînes se livrent cette bataille pour l'audimat, parler de l'intelligence à la télévision, c'est comme si l'on distribuait des guides gastronomiques au Sahel."
Guy Bedos - né en 1934

[Rédigé par : aitina]

"Je croirais vraiment à la liberté de la presse quand un journaliste pourra écrire ce qu'il pense vraiment de son journal. Dans son journal."
Guy Bedos - né en 1934 - Journal d’un mégalo

[Rédigé par : alice]

pff c clair jvois pas ce qu'il y a de fasciste... regardez, même cette petite merde de Julliard rigole.

[Rédigé par : Rebecca]

Franchement, c'est abusé ! J'aime pas son humour...

[Rédigé par : ikofanu]

sans diffamation, cette phrase correspond tout à fait à certaines paroles malheureuses de représentants poliques de l'extrême droite, lesquelles avaient été dites, dans le même contexte parfois, avec le même cynisme grinçant.
La seule différence flagrante est qu'il sagit d'une femme, maghrébine, de tendance politicienne soi-disant acceptable démocratiquement, car issue d'un parti républicain et démocrate.
Mais, ne nous y trompons pas:
il ne s'agit plus ici de blagues sur les chambres à gaz, mais bien d'une "récidive" envers les jeunes de banlieue de la promesse faite par Nicolas sarkozy, et j'insiste bien sur le mot "récidive" pour que les médias mais aussi le parti prenne acte de la faute commise par cette représentante éminente du peut-être futur président de la république française. Et plus qu'une récidive, même s'il s'agit d'humour cynique, le fait de parler d'un ministère signifie bien qu'il y a désir de systémisation de cette politique, et là, je dis danger! mais vous l'aurez tous compris, je pense. l'humour sarkozy n'a rien à voir avec l'humour d'un fasciste tel que jean marie lepen. Le pen, en tant que représentant du front national ne peut se permettre de faire de l'humour, notamment des blagues antisémites, qui étaient son for à certaines periodes (mais qui étaient aussi le for de tout un chacun, rappelons-nous un peu Coluche et cette époque bénie où on pouvait faire de l'humour de tout...); l'UMP en revanche, en tant que parti fort, le parti de tous les français, comme le dit fierement son chef politique, peut se permettre de rire de tout et de n'importe quoi,avec respect, bien sur! le respect magnificieux dont il se targue envers tous les français, ce n'est pas du respect, quand on le jette si bas. çà s'appelle de la condescendance!! et de l'humour, avec une telle condescendance, c'est la marque d'un sentiment de supériorité insupportable!
et cette condescendance, c'est en effet à tous les français, et toutes les françaises, ne les oublions pas! mais surtout à ces gens qui ont besoin du respect, qui doivent retrouver foi dans la valeur travail, ces gens nécessiteux, qu'on appelle aussi les pauvres, les exclus, les délaissés de la politique... Tous ceux que la gauche tente vainement de soutenir, il est vrai, face aux requins de droite, c'est-à-dire face à tous ceux qui pensent que le temps, c'est forcément de l'argent, et que l'argent, c'est forcément le nouveau dieu qui régente ce monde, et que ceux qui ne comprennent pas cela sont forcément en dehors du système, et doivent forcément se plier aux règles, et cesser de vouloir autre chose que le profit, le progrès, et la puissance (les 3 P).
hé bien ce discours de condescendance misericordieux envers les plus démunis, et aussi d'encouragement vers l'embourgeoisement, il a été longuement siffloté tout au long de l'histoire pour permettre à nos sociétés capitalistes occidentales d'arriver où elles en sont, ralenties parfois par des luttes populaires qu'on a dit ensuite, progressivement sociales, puis socialistes. Ces chants de sirènes populistes, ce ne sont pas vraiment les chants des partisans, mais bien plutot la longue tirade du pouvoir déclamée il y a presque cinq siècles par un autre Nicolas, Machiavel, celui-là, que notre Petit Nicolas avait même avoué avoir comme livre de chevet, fut un temps. Et ce discours populiste, qu'on ne m'empêche pas d'employer ce mot, ou j'attends qu'on me fasse un procés, est le propre de tous les fascistes, qu'on ait de l'humour ou pas.
Tout ceci pour prouver que ce n'est pas qu'une petite phrase assassine, inconvenue, et non maitrisée qui mettra le feu aux poudres. C'est cette politique toute entière qui veut sabrer non pas les institutions en place qu'il juge convenable, mais le peuple qu'il trouve moralement inconvenable (voire inconcevable) qui mettra les hommes et les femmes en colère, mécontentera certains même qui avaient voté pour lui, si la force et la teneur de la propagande tend à s'affaiblir, ce qui signifiera toujours plus de propagande. Mais aussi, des satisfecit toujours constants devant l'évolution sans cesse joyeuse des chiffres des statistiques.
Pendant que ceux qui ne souhaitent ni ne peuvent travailler plus s'appauvriront, et que ceux qui auront pris au vol l'opportunité de s'enrichir en travaillant plus se rendront compte dans 50 ans, à 70 ans, l'âge de leur retraite, que s'ils avaient su...
Je ne critique pas Sarkozy, ni l'ump qui représente son parti. Je critique le système généralisé qui permet que des représentations si peu démocratiques, si peu franches par rapport à leur électorat soient effectives... et qu'une élection qui se veut si démocratique en devienne si totalitaire pour ue frange de la population. Même si nous sommes bien conscients que si Nicolas Sarkozy prend le pouvoir fort de ses 11 millions d'adhérents au premier tour, ce ne sera pas un nouveau 1938 à venir, nous somes en droit de nous demander pourquoi dans certains pays démocratiques, les élections sont acceptées dans la clémence et la tolérance, et dans d'autres, comme en Italie, avec Berlusconi, aux Etats-unis, avec Bush(et je ne parle pas des polémiques extrémistes au pays-bas, en Belgique et en autriche), ET en France, avec Sarkozy, il existe de forts débats et de grandes polémiques à l'accession au pouvoir de telles idées, qui sont, plus ou moins, les mêmes, celles d'une droite radicale (dont je ne déballerai pas les éléments ici)?? Est-ce que ce sont les gauchistes qui sont les terroristes de la démocratie? ou est-ce que finalement, n'est-ce pas tout simplement la voix du peuple, contre la voix de son maitre? pour quelqu'un qui voudrait revenir sur les valeurs apportées par la révolution culturelle de 1968, en tout cas, nicolas sarkozy, clairement a choisi son camp, et devra s'attendre à ce qu'un autre se dresse contre lui. Car l'esclavage est bel et bien une valeur passéiste, même si elle existe encore sous de nombreuse formes. car la liberté, quoiqu'on en dise, reste encoe une belle utopie, et qu'il n'y a pas que l'argent qui peut voler. car enfin, diviser pour régner n'a jamais apaisé les masses. Bien au contraire. Et si celle-ci ne peut se rassembler, par manque de soutien ou de liberté, rien ne l'empêchera de se rebeller comme Spartacus, et c'est alors tout l'empire qui s'éffondrera.
Le Karcher est une arme dangereuse que seuls les pompiers savent manier avec agilité et professionalisme. Ils auraient su prévenir Monsieur Sarkozy, s'il leur avaient posé la question, qu'un tel outil utilisé à mauvais escient, notamment en politique, peut engendrer des retours de flamme inconsidérables.
à bon entendeur.

[Rédigé par : Poolky]

Ya vraiment pas de quoi fouter un chat ... Ce qui est flippant c'est de voir les retombées que cela peu avoir ... enfin ...

[Rédigé par : caro]

alors on aime pas l'humour maghrébin les cocos ?

[Rédigé par : Sulaiman le nudiste]

Ca s'est bien joué une bourde pareille alors que c'est filmé .C'est vraiment une cruche et encore le mot est faible